Un vieux père, malade et condamné, débarque chez sa fille qu’il n’a pas revue depuis de longues années pour lui demander de l’aider à mourir. Cela ravive les fantômes de leur passé. L’ami de sa fille arbitre le duo avec distance et réussit à les guider en douceur vers l’inéluctable dénouement.
Entre les trois personnages va se jouer au cours de cette nuit, une danse de vie et de mort, de haine et d’amour, durant laquelle chacun tentera de régler ses comptes pour oser enfin, peut-être, commencer à vivre.
Ni la réussite sociale de la fille, ni la maladie du vieux père ne peuvent effacer le passé.

Rien ne me sépare de la merde qui m'entoure
Virginie Despentes
Mise en scène
Véronique Ros de la Grange
Collaboration artistique
Jacques Michel
Jeu
Céline Goormaghtigh ou Véronique de la Grange,
Jacques Michel, Furioza et Béatrice Graf
« Toutes les propagandes me traversent, toutes les propagandes parlent à travers moi. Rien ne me sépare de la merde qui m’entoure, rien sauf le désir de croire que ce monde est une matière molle, que ce qui est vrai aujourd’hui peut avoir disparu demain et qu’il n’est pas encore écrit que cela soit une mauvaise chose.» Virginie Despentes
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