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Friedrich Dürrenmatt répondait en 1969 à «La Danse de mort» rédigée en 1900 par le dramaturge suédois August Strindberg, en resserrant drastiquement la charge qui y est sonnée contre la vie conjugale.
Au-delà de la débâcle du ménage que forment Edgar et Alice, notre satiriste national lance surtout un assaut féroce contre l’institution du mariage bourgeois. Au niveau de l’intrigue, on s’écharpe à qui mieux mieux un soir de noces d’émeraude – teintées de fiel. Selon un rituel quotidien, le vieil officier militaire, plumitif obsédé par la balistique (Jacques Michel, très chien), s’oppose dans un jeu de massacre verbal à son ancienne actrice d’épouse (Maria Mettral, très chatte).
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